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Coucou mon chéri d ‘amour ! !
Déjà quelques heures se sont écoulées depuis que tu m’as
tenu dans tes bras, et il me semble que j’ai perdue une grosse
partie de moi-même : la tienne, ta moitié, qui fait maintenant
partie entière de moi. J’ai tellement hâte de la
retrouver.
Elle fait partie de moi, et quand tu n’es pas là, je recherche
du réconfort dans ce tout petit recoin. Et tu me parles,
au travers de cette moitié, me rassures. Je t’écoute et je
t’attends , tout sagement, tout amoureusement.
Je te dois beaucoup mon
chéri. Tu m’as redonné le goût de
vivre, de jaillir et d’imprégner ton cœur de joies immenses ,
de tout faire pour te rendre heureux. Oui, amour, depuis que
je te connais, je ne vis plus mais me laisse vivre, je me
découvre au travers de toi. Tu m’as détendue,
rassurée, sécurisée. Tu es mon vrai homme à moi, mon ange d’amour qui
veuille sur moi, m’entoure de son affection.
Je t’aime, tu sais, je t’aime. L’as-tu entendue ?
Je l’ai crié fort, à tue-tête dans tout l’appartement. Les
murs ont tremblé et mes colocs aussi. Mais je m’en
fous.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime....
Hier j’étais tellement bien dans tes bras. Ensuite on s’est
quitté, j’ai fermé les yeux, et encore je sentais ta
présence,
ton odeur, tes caresses, tes mains chaudes sur mon visage.
J’entendais tes mots doux, ta présence était telle, que je te
sentais à côté de moi. Si j’avais ouvert les yeux à ce moment
là, j’étais sûre que tu aurais été là. Alors je préférais les
tenir fermé, pour te garder intact, pour continuer à profiter
de ce moment si intense, de te sentir à mes côtés, de prendre
de toi tout ce dont j’avais besoin. Et alors, je me suis
endormie, avec toi, à côté de moi, toute sereine, le sourire
aux lèvres, j’étais joyeuse, tu m’aimais .Que de plus, j’ai
tout . je suis comblée. Je suis venue te rejoindre dans mes
rêves les plus saugrenues. Tu y es déjà, encore là très
présent avec toute cette douceur. Tu m’attends assis sur un
nuage, me tendant les bras.
Ce soir, je suis sans mot pour te
parler. Je ne veux pas
m’en tenir à des banalités. Ce que je voudrais te dire ne
s’écrit pas, car seule la parole, les yeux, les gestes, la
voix pourraient réussir à te faire comprendre ce dont je
ressens en ce moment et que je voudrais tant partager avec
toi.
Mon amour, si tu savais comme j’aurais envie ce soir de me
frotter à toi comme une chatte. J’aurais envie de te
respirer.
C’est si bon quand tu poses tes mains chaudes sur mon visage
et que tu rebrousses mes cheveux. Je te souris quand tu
effleures mon sein et que tu caresses mon ventre. J’ai très
envie de toi. Mais je me retiens. Je pense à nous, je rêve
sans cesse à nous.
Maintenant où que tu sois, je sais que je suis avec toi
toujours et que je ne suis jamais seule, tout se rapporte à
toi, qu’il fasse froid, qu’il pleuve, qu’il y ait du
soleil,
tout cela est en rapport direct avec toi. Tu es ma pensée et
je t’aime mon amour à en mourir. Je sens aussi tes pensées
essayer de se connecter à moi. Tu m’envoies de si douces
pensées que j’en frémis de joie. Je me surprend même à
sursauter, à trembler.
Si tu savais, comme c’est long et bon de t’attendre, de te
mériter, de te désirer, d’avoir envie de te
déshabiller, de te toucher, de te caresser toute ta chair, du plus petit au plus
appétissant morceau. Cela en devient presque énervant, presque
excitant, presque intolérable, presque un petit péché mignon.
Mais c’est une faute dont j’aime être ta
complice, non
seulement en pensée, mais aussi quand nos corps chauds se
frôlent, s’effleurent tout doucement, juste assez pour que le
désir prenne le dessus. Il n’en faut pas plus. Je veux
attendre pour me donner complètement à toi, je veux
sauvegarder ce moment pour nous, pour la première fois que
l’on se rencontrera. Je veux me réserver pour notre première
rencontre mon amour, je veux partager ce moment où l’on se
donnera entièrement l’un à l’autre pour
Stéphane, mon amour,
mon bien-aimée, que je pourrais palper physiquement pour la
première fois, quand il sera présent pour la première fois à
côté de moi.
Tu sais, mon chéri, je t’aime
éperdument, à la folie, pour toujours. Je suis prête à t’attendre mon amour, et t’aider à
m’attendre parce que je t’aime jusque dans le plus profond de
moi-même, je désire te pénétrer, te connaître encore plus,
plus que moi-même, jusqu’à ce que nous arrivions à une
télépathie commune. Toi tu y es presque arrivé. Moi J’en suis
à mi-chemin encore. Mon amour, j’aime tout ce tu es, tout ce
que tu fais, tout ce que tu dis, tout ce que tu désires, tout
ce que tu penses. je veux me synchroniser avec toi, même nos
pensées les plus intimes, nos désirs passionnels ou charnels,
nos secrets encore non dévoilés, je veux tout partager avec
toi.
Je t’aime....Je t’aime......Je t’aime....
Plus que quelques temps d’attente encore, pour que je
puisses enfin me jeter dans tes bras et pour pouvoir roucouler
de jolis mots d’amour, te donner d’autres instants de bonheur
jusque là jamais atteint, te procurer de joies immenses, des
plaisirs intenses que nous partagerions tous les deux.
Tu vois, je t’appartiens
maintenant, mes lettres
s’imprègnent sur tes lèvres. J’aime m’imaginer qu’il y a un
chemin tout tracé dans ta tête qui t’aident à ressentir mes
mains douces qui sillonnent tes bras, ton visage, ton corps.
Elles ont envie de te palper, de te toucher de te sentir, de
te caresser, de te donner toute cette affection dont tu as
tant besoin
Mon amour je t’aime
tellement, que lorsque tu n’es plus là,
Marilou n’est plus là non plus. Elle est toujours en rêve avec
son Stéphane chéri où qu’il veut que je sois. Ma pensée te
suit et te poursuit sans que j’ai le temps de m’arrêter pour
souffler un peu. Mais je ne veux pas m’arrêter parce qu’alors
je te perdrais de vue. Je veux toujours être avec toi.
Je suis tellement heureuse avec toi mon amour, tellement
heureuse que je ne cherche plus à l’être. Avec toi, tout est
si facile pour le devenir. Je te remercie pour tout ce que tu
fais pour moi, et pour tout ce que tu me donnes.
Mon Stéphane, mon homme à
moi, mon petit roi, je t’adore.
Tu es ma vie, mon amour, mon chéri, que je mangerais tout rond
jusqu’à en faire une indigestion. Ca serait tellement agréable
au goût.
Il faut maintenant que je te quittes car je suis plus
capable d’écrire. Je tombe de sommeil.
Bonne nuit mon amour. Je t’embrasse une
oreille, la bouche
et tout le reste. Demain je sais que je serai encore plus
amoureuse de toi. Je t’aime mon amour fort, fort, fort et je
t’envoie un millions de baisers (rectification : un million de
mille baisers tout doux, tout aussi tendres les uns que les
autres)
Amoureusement Tendre Celle qui t’aime à la
folie MariLou xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
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