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Ô
Tendre Âme lointaine!
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Quelle
bonheur qui soudain m'envahi
de nous savoir en pensée réunis
Je désespérais de vous retrouver enfin
Chaque nuit un peu plus chagrin
Un océan d'attente, une vague d'espoir
Ainsi, vent nostalgique, tapie dans le noir,
Un sablier posé au Cercle de Pierre
S'écoula le temps de maintes prières
Ondes de chaleur qui vint se poser
Sur quelques cœurs d'enveloppe marbrée
En songeant à celui qui tout d'or éclatant
Fit fondre l'armure invisible du tourment
D'un cœur meurtri, qui de pièges,
Jamais, Ô malheur, ne se protège,
Mais qui l'appel, Ô bonheur, sait entendre
Pour renaître et les battements reprendre
une Fée qui, près d'un feu, passait...
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Par
Morgiana la Fée
15-10-2001
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d'Archives :
Esprit
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Dernière
mise à jour 15/11/01
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