Milles et une nuits...
Avec toi, ces milles et unes nuits,
M'ont semblées belles, infinies.
Pourtant il m'a fallu t'abandonner,
Penser à retrouver mes cheveaux esseulés.
Sache que je soir qui tombe,
Sans ta présence pour ombre,
Me laisse telle une enfant apreurée,
Je perd pied de la réalité.
Pourtant je ferme les yeux et je pense,
A toutes nos torrides danses
Le sourire me revient aux lèvres,
Je sais que je vais faire de beaux rêves.
Encore une nuit à te retrouver,
Même si ce n'est que dans mes songes,
Mon désir envers toi doucement me ronge
Toi, seul homme qui saura jamais m'aimer...
(Toi aussi qui ne liera jamais ce parchemin )
---
Publié le 12 juin 2001