Dans la forêt me promenant,
Je contemplai la nature rayonnante,
Je marchai frémissant,
Chantant, la voix haletante.
Cherchant
quelqu'un à qui parler,
Je tombai sur ton joli visage,
Il resplendissait de santé,
Il me faisait oublier la raison du sage.
Notre
rencontre ne fut que brève,
Juste le temps de sentir le vent,
Ce vent je l'ai ressenti dans toute ma sève,
Qui a emmené au loin mon tourment.
Mais
depuis ton visage ne réapparaît,
Et il pleut dans mon cœur,
Comme il pleut dans la forêt,
J'attend notre prochaine rencontre avec
ardeur.
|