Poussière
de lune sur le lit d'Althéa
La nouvelle étoile illumine le présent
Subtile éclipse au creux des reins de la joie
Le long du velours qui recueille le sang
D'où
vient donc cette haine
Qui chaque nuit me terrasse
Comme une pluie qui coule dans mes veines
Il est temps que je laisse ma place
En
regardant se répandre le drap de la mort
Comme une ombre dont on peut sentir la fièvre
Sans une larme, un crie, un remord
Je meurs seule dans les ténèbres.
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