Il y avait sur mon cur,
Une grande brèche.
Il y avait sur mon cur,
Des larmes que rien n' assèche.
Je me suis perdue dans mon cur,
Dans le labyrinthe du malheur.
Dont la seule issue est l' amour,
Un amour comme au premier jour.
Mais la brèche grandissait,
Et Mon cur gémissait,
Mes larmes coulaient,
Et peu à peu je mourais.
Puis un jour,
M' est apparu...
Une lumière au bout du couloir,
Perçant la grande noirceur,
Une lumière belle à mes yeux,
Resplendissante de bonheur.
Une porte de sortie,
Soudain je me suis dit.
Mes jambes couraient vers cette lumière,
En n' y engouffrant.
Une sensation, j' ai ressenti,
Une sensation, que j' avais presque oublié.
Celle de l' amour,
Celle que l'on m' as apporté.
Et maintenant, je ne veux plus
Jamais cesser d'aimer,
Quoi qu' il puisse arriver.
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