De mes doigts, un rêve, avais effleuré
Dans un regard éphémère, je me suis laissé noyer
QuÂ’il Ă©tait doux ce bel habitant de mes songes
QuÂ’il Ă©tait doux de croire Ă tous ses mensonges
Dans mes nuits est entré ce bel illusion perdue
Le temps dÂ’une danse, dÂ’une caresse, il Ă©tait apparu
Savourant chaque instant le temps s’était arrêté
Dans ma mémoire sont enfouis, ces moments d’éternité
Puis le miroir de la réalité s’est brisé
Me laissant dans le froid et seule Ă jamais
Déception amère que de s’être laissé aller
A croire Ă lÂ’amour, il nÂ’y a que regrets
La désuétude ma présence a remplacé
Aux caprices du destin je ne puis plus lutter
Adieu réflexion d’une âme qui est peine
Tu avais mon amour, il ne sera pas haineÂ...
AdieuÂ...
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