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POÉSIES

Amante

Ses mains si puissantes éveillent en moi le désir
Et bien loin de moi serait l'idée de m'enfuire
De ses caresses et ses jeux ô combien érotiques
Nait l'ivresse de l'enfer qui condamnerait l'héritique


A quoi bon s'attacher à ce bel amant perdu
Et face à un sentiment galant s'avouer vaincue?
A quoi bon vouloir retenir ce qui ne peut être sien
Mieux vaut donc se séparer, par un signe de la main...


Je ne suis pas de celles que les hommes veulent épouser
Je ne suis pas de celles qui son corps n'ose montrer
Mais je suis de celles qui obtiennent ce qu'elles veulent
Que cela n'en déplaise, je n'en suis pour autant veule.

Dame Lhylith Terra
-- Publié le 29.01.2002 --

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Dernière mise à jour 07/02/02