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Il nÂ’est Ă mes yeux de plus doux rĂŞve
Que celui que toutes les nuits sans trĂŞves
Depuis que je te connais vient me bercer
Celui qui toujours fait mon cÂśur danser
Que nÂ’ai je que des mots pour clamer cet amour
Que nÂ’ai je mille couleurs pour peindre tes atours
Que n’ai je des notes pour chanter ta beauté
Mais tout ceci serait toujours loin de la réalité
Tu as sans doute, des Elfes héritée la beauté
Tu as sans doute, de Sélene héritée la volupté
Tu as sans doute de Syl héritée la sagesse
Et de ta mère cette voix douce et enchanteresse
Ton père a sans doute dérobé aux cieux
Les Ă©toiles que je vois au fond de tes yeux
Tes lèvres dont les baisers me sont douceur
Ont le parfum et la douce suavité des fleurs
Et tout cela tu lÂ’as offert Ă lÂ’humble magicien
Qu’un jour merveilleux tu as croisé en chemin
Tu as pansé mes blessures et guéri mon cœur
Et près de toi chaque jour, je vis mon bonheur
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