Accablée, j'errais jusqu'au cercle de
pierre. Résignée, je m'étais laisser tomber a
terre. Tout ce poids accablant sur mes épaules, Toute
cette peine contenue dans mes geoles.
Comment avais-je pus
oublier. Je m'éttais laisser entrainée. Honte a moi, a
l'esprit embrumé, J'etais perdue, totalement égarée.
Le sommeil me vint sans crier gare, Aidé par la fatigue
et le déséspoir. C'est alors que mon calvaire pris
fin, S'envolerent les doutes et le chagrin.
J'ouvrais les yeux dans un champ de fleurs. La surprise
d'abbord, puis vint la chaleur. Une douce sensation
d'étreinte m'envahis. Etais-je morte? Etait-ce cela le
paradis?
Sa divine voix parvint a mon
coeur, Une mélodie d'une
extreme douceur, Touchant mon âme au plus
profond, Déposant un baiser sur mon front.
Elle était la, devant moi, me souriant. Elle était la,
en moi, depuis longtemps. Elle me libera de mes doutes et
larmes, Comment ne pas succomber a tel charme.
Le reste, je le garde pour moi... Sachez seulement que
l'amour sera loi. Ce n'était peut être qu'un doux
rêve, Si tel est le cas, que je dorme sans trève.
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