Femme enfant de mes doux souvenirs, Tant de joies,
ai-je connue dans tes bras. Tu es si fragile et forte a la
fois, J'ai toujours peine a te voir partir. J'appel en
moi nos tendres câlins, Tu a ta vie, je sais, mais c'est si
loin... Aussi grande soit la distance, N'oublie pas qu'a
toi je penses.
Tu m'en veux peut être, J'ai des tords
sûrement. Puisse cet amour renaître, Tu sera toujours
mon enfant.
Je prie Syl de guider tes pas, Je sais qu'Elle veille
sur toi, Même si tu le La prie pas. Puisque aussi loin
tu es de moi...
Ma fille, la joie a ma porte, Non de mon sang mais
qu'importe. Ma tendre enfant, ne m'oublie pas, Tu me
manque tant, ma Malika.
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