Mon histoire

  Né de Kateria et Urgash Ethael Par un beau jour de printemps. Tout était prédisposé pour que cet enfant grandisse dans la joie et la bonne humeur.

  Très tôt je me suis mit à vouer pour Brehan une très forte ferveur et je me suis attaché à combattre les Sbires de Jarko pour aider du mieux que je le pouvais le Baron de l’époque.

  J’étais , mes sœurs s’il en reste encore en vie , pourront le confirmer, plein de vie et d’entrain j’aimais les taquiner surtout Lena et Silwenne qui était proche de moi, mon père et ma mère autant faire que peu essayaient de m‘inculquer les bases d’une éducation de gentil homme avec j’en conviens quelques difficultés.

   Je grandissais avec un amour toujours plus grand pour tous les membres de ma famille Mes sœurs Abyssenne Lena Ihriel Silwenne Erish Elviranova et mon frère Gilius, mes Aptitudes Guerrière étaient reconnu de tous d’un tempérament impulsif j’écrasé souvent avant de parler.

  Ma petite sœur Silwenne m’apportait de jour en jour rire et joie divers, quant aux aînées je ne les voyaient que peu toujours à combattre les suppôts del’harupiste.

  Notre famille était, je dis était puisque je dois être l’un de ses dernier représentant, immense par son savoir et son étendu Ma tante Ombre lune me parlais souvent de Syl en espérant me faire changer d’avis ,mais ma voie était toute tracé... comme je me trompais.

  Un jour de mon adolescence je devais avoir dans les quinze années tout au plus Ihriel une de mes sœurs les plus discret m’invita à une étrange réunion où des être ailés de noire palabré j’écoutais et compris le nom de leur dieu Ogrimar il y avait un homme d’une puissance effroyable au centre Ys ce nom qui a fait trembler nos contrées, une telle puissance dans un seul homme inconcevable, non Ogrimar lui avait juste accordé les moyens de ses envies.

  Pendant plusieurs semaines je ruminais mes sombre pensées sans penser à ce qu’étè devenus ce Ys , puis j’oubliais tout ...ou presque.
Ma vie continua avec des rires grâce au reverend toujours aussi pitre et sage quand il le fallait des pleures aussi mais moins nombreux.