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Registre d'états Civils

Portrait

Mon histoire


  Une île battue par les vents, perdue au milieu de tant d’autres, dans le village on ne vit que de pèche et de rares cultures. De ma mère je me souvient que de sa douceur et sa tendresse. Elle m’as appris les secrets des plantes, elle était la guérisseuse du village, mais tout ses talents n’ont put enrayé le fléaux qui ravagea les îles apportés par un navire marchand. Après un grand vide, notre père toujours parti pour assurer notre pitance c’est mon frère Casper qui s’est occupé de moi. Une nuit d’hiver l’expédition de pèche est revenue, il manquait des barques. On nous a confiés à une famille qui ne pouvait avoir d’enfant. Malgré leur gentillesse ils n’étaient pas préparés à élever deux enfants turbulents.

  Vers l’age de 12 ans, j’ai revelé mes dons pour la magie. Si pour un garçon ces dons sont une bénédictions des dieux, ils sont très malvenue pour une fille. Elle devient une sorcière et tous les maux du village lui sont attribués. Casper m’as protégé un temps. Mais un hiver rude, la fuite des bans de poisson et la venue d’un prédicateur parlant de pureté et de jugement a eu raison de l’affection des villageois à mon égard. Alors que je travaillais à distiller de l’alcool de miel, le prédicateur a essayer de me forcer à devenir sa femme. Dans notre village, une jeune fille peut être forcer au mariage si celui ci est consommé. Je me suis protégé avec mes maigres ressources. Sur son visage gardera toujours la cicatrice de ma main enflammée.

  Je suis devenue une sorcière, accusée de toutes les malédictions du village. Afin que le village regagne les faveurs des dieux, le prédicateur à réussit a convaincre les villageois que je devais être purifiée par son feu purificateur. Casper et moi avons fuit. Nous avons réussit à gagner une île, puis une autre. Nous avons payer notre voyage en travaillant à bord d’un navire marchand, un de ceux qui des années plus tôt avait amenés la maladie qui m’avait pris ma mère.

  Après plusieurs mois à bord, nous avons échoués à Lighthaven. C’est Mirnov Skaya qui m’as accueillit. A l’époque il était bailli de la ville. Après quelques errances dans les sous sols d’un temple, j’ai rencontré dame Luna de Amn et le vicomte Odran. C’est eux qui m’ont accueillis au sein du culte de Syl. C’est auprès d’Eitheladan que j’ai commencé à apprendre la magie.
Plus tard lorsque mon maître s’est retiré, c’est avec Lieadjah Mélune que j’ai continuer dans cette voie. Auprès d’Ashrab Abalham j’ai commencer à travailler au service de la justice en tant que greffière. Je lui succede en tant que juge d’Arrakas mais la joie de cette nomination sera a jamais éteinte par la perte de cet ami.

 J’ai succédé à mon maître Lieadjah au poste de Maître de l’ordre gris.

Ellian Nefkati Son

Race Humaine sans ailes
Sexe Féminin
Yeux Bleus
Taille 1m 65
Age 29
Cheveux Noirs
Poids    54
État civil Mariée, une Fille
Caractères :
Nc.
Descriptions :
Nc.
Portrait Chinois : si j'étais...
Un animal :
Une Louve
Un arbre :
Un roseau
Une fleure :
Jasmin
Une couleur :
Bleu
Un sentiment :
La Joie
Un objet :
Une Carafe
Une saison :
Printemps
Un élément :
L'air
Une sensation :
Caresse
Une qualité :
Joyeuse
Un défaut :
Fainéantise

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Enregistré le 14 Octobre 2001

Mise a jour le 22 Mai 2002

Decedée

  J’essaye de faire parvenir la connaissance aux hommes, taches difficiles mais réjouissante. Dernièrement je suis retournée sur l’île qui m’as vu naître. Aidée de Corwin ExNihilo j’ai construit un petit temple dédié à Syl et à la connaissance.

Ellian Nefkati Son

Sommeil

Le soleil se lève sur Lighthaven, la foule s’active sur les marchés.
Armes, armures s’échangent. l’or passe de mains en mains.

Un bateau est annoncé. Je vois ces pauvres hères qui débarquent. Certains ne portent qu’un simple couteau à leur ceinture. Ils se dirigent vers le samaritain qui leur indique ou se trouve l’académie, ou trouver a se loger, quels sont les règles de survie hors de la ville. Une jeune femme descend en dernier. L’air altier, une cascade de cheveux blond auréole un visage amaigri par les privations. Je sourit, Le jais cache l’or. Les épaules solide, le visage avenant, je reconnais le séraphin d’Ogrimar sans même voir son visage. Je connais son discours, le ton charmeur de la voix, qui réchauffe et inquiète. Les yeux toujours a l’aguets de la venue de garde du baron. Ils se dirigent vers le Gob d’or. Demain un autre bateau, un autre visage mais le même discours.
Nos regards se croisent et se défie. Un autre jour ou je ne baisses pas les yeux malgré la crainte qui me serre le cœur. Je m’affaire, mes mains et mes jambes ne sont plus aussi alerte que jadis. Je triche, les esprit du vent porte ce que je ne peut plus soulever.
Une douce chaleur monte de la cheminée, j’avance a faible pas et je pose au coin la dernière tarte à la rhubarbe de la saison. L’odeur monte dans la cuisine. Je reviens à la fenêtre, je lis. Des gens passe et me salue. Je réponds machinalement à des visages que je ne reconnais plus. La journée avance. Ma tarte est enfin prête. Je la dépose prés de moi. Déjà les gens rentrent chez eux. Les mendiants sont remplacés par des gens plus agiles. Je reconnais Noam, d’ombre en ombre il passe, silencieux, attentifs. Il s’approche d ‘un marchand, lui propose divers objets de toute provenance. Ses mains s’agitent en tous sens alors qu’il marchande. Puis il s’essuie contre sa tunique. Il lance un regard furieux vers moi. Je n’ai pas perdu la main. Certes invoquer une limace dans une poche est à la portée de tout apprenti mais mes doigts n’ont plus la précision qui fut la mienne lorsque je berçais Noam.
Je rentres dans ma maison. Il est déjà tard pour moi, je prépare un repas, léger, savourant par avance ma friandise.
Je me dépêche de manger, la nuit est déjà tombée sur lighthaven.
Sur la fenêtre il ne reste plus qu’une part de tarte, a coté est posé une limace. Encore une fois je n’ai rien vu. Je ris. Et je savoure ce dernier morceau de gâteau. De toute façon je mange peu ces temps ci.
Mes yeux commence a se fermer. Je n’arrives plus a veiller, je n’arrives plus a regarder le ciel étoilés. La fatigue m’étreint, pourtant je doit encore me lever, j’ai tant de petite choses a faire. Mes jambes ne me porte plus, Un effort encore, Mes yeux se referment. Lutter un peu plus, je suis si fatiguée. Ce n’est plus mon combat, tant de monde est arrivé pour me remplacer, il fais si froid

A Lighthaven une vieille dame s’endort sans rever…
Ellian Nefkati Son
21-05-2002

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Extrait du grimoire Gx

Dernière mise à jour 22/05/02