Mon histoire

  Je suis née dans un village, à Edoris. La vie était paisible. Ce village signifiait pour moi la paix. Je fus le benjamin de la famille. J'avais deux frères et une sœur, nommés Marco , Dejan et Alarielle, élevé par des parents affectueux. Mes frères et sœurs n'avaient besoin de rien.

  Après la fin de mon éducation , a la seule école du village, mon père m'apprenait dès le plus jeune âge, la magie. C'était un grand magicien, maîtrisant les sorts et magies bénéfiques. Il était très reconnut au village. Mes frères et sœurs n'avait pas de talents pour la magie, ma mère étant archère leur a fait découvrir des dons dont ils ne connaissaient pas. ils possédaient une grande dextérité.

  D'années en années, nous devenions de plus en plus forts, mes parents étaient ravi de nous voir progresser.
Toutes les 6 lunes, nous allions dans la zone commerciale du village.
  Mon père acheta des arcs pour mes frères à la forge, et alla au marché. Ce lieu signifiait le point de rencontre du village, tout le monde se connaissait, remplissait leurs paniers de fruits et légumes sous un soleil éclatant et d'un ciel bleu. Ce jour-là, nous l'appelions dans notre famille, la journée parfaite.

  Mais c'est dans cette journée parfaite que tout vas changer...
Un envoyé du roi dirigeant ce royaume monta sur l'estrade de la place publique près du marché et déroula son parchemin.

  Il dît qu'une guerre opposant l'armée Noir contre L'Armée du Roi Guillaume V a éclaté depuis hier et que "l'Armée Noire" ravage le royaume en ce moment et devrai attaquer le village dans les 2 lunes qui suivent. Il nous dit également que"L'Armée du Roi" sont en route pour Edoris.

  Après avoir lu son parchemin, il l'enroula puis rentra dans son carrosse.
L'ambiance qui régnait dans la place du marché, qui normalement n'était que du brouhaha, était calme, personne n'osait ouvrir la bouche.
J'avais 15 ans lorsque cela est arrivé.
Mes parents étaient inquiets.
Nous rentrâmes chez nous, silencieux.

  Le Soir, ma mère avait préparé le dîner, tout le monde était assis autour de la table.
Personne ne parlait, seul le bruit des fourchettes touchant le creux de l'assiette animaient le dîner.
Nous nous couchâmes très tôt, Mon père restait pensif, ma mère n'avait parler depuis notre retour du marché.
  Et c'était pareil le lendemain.
Le soir, lorsque mes frères, ma sœur et moi allions nous coucher , nos parents nous dirent dans notre lit, une phrase que je n'oublierais jamais: - Mes Chéris, Je vous aime.

  La façon dont ils le disaient me faisait penser comme si il savait ce qu'il allait arriver demain.