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Cynthea : 14-12-2001

Neohken : 14-12-2001

Ayame Elros Era : 14-12-2001

*revêt les Voiles*
*pose les quatre Pierres arrachées aux Marais*
*pose le bois à l’Est, allume le feu a Sud, effrite de la terre au centre, pose un brin de métal à l’Ouest, verse de l’eau dans un bol au Nord*
Par le printemps, l’été, la saison cachée, l’automne, l’hiver
*broie la turquoise, le rubis, la topaze, le saphir, l’émeraude, disposant au fur et à mesure les poudres obtenues*
Par la colère, la joie, le souci, la tristesse, la peur *en touchant l’endroit du foie, du cœur, de la rate, des poumons, des reins*
*lance le blé, le riz, le millet, l’avoine, le haricot, en chantant le do, le la, le mi, le ré, le sol*
Par l’esprit, l’âme, le Tout, le mental, le corps
*hésite à en appeler aux Anciens, renonce*
*prend les quatre Pierres arrachées aux Marais*
Entendez ma voix, amenez-moi près de Demoiselle Jezabel
*ferme les yeux, se concentre, laisse les Vents emporter son esprit*

*frôle le lieu où un Démon enferma jadis le Seigneur Tanis, se déconcentre et chancelle*

Follet : 14-12-2001

Jezabel : 14-12-2001

Après avoir traversé le portail de droite, Caolie se retrouva seule. Un vent glacier passa et fit éteindre sa torche. Tout autour d'elle était silencieux. Un silence pur dirait-elle ! Sans hésitation elle se prit une torche, elle se lança quelques sorts de protections le temps qu'elle s'allume. Il faisait froid... Caolie pouvait voir très peu, la lueur de sa torche la réchauffait peu.. Soudain une boule de feu s'abbata sur le mur en face d'elle qui ceci éclaira toute la pièce. Elle eut le temps de se lancer dans un coin et de voir une ombre bouger contre le mur. Caolie était troublée par cette ombre. Elle resta figée sur le mur et quand Caolie bougea, l'ombre bougea et faisait les même gestes. Cela était bien étrange et un grognement se fit entendre.

Caolie s'approcha tout en se méfiant pas à pas... l'ombre restait immobile... soudain l'ombre sorta très rapidement de son mur.. Ou était-elle ?! Des bruits de pas se fit entendre... un claquement... le bruit des griffes se frotter contre le sol affreux... une chaleur rôda la figure de Caolie.. elle le sentait par la fente de son armure sur son visage. Elle recula bien vite... il n'y avait aucune sortie de cette grotte, le portail avait disparu. Une autre boule de feu surgit, Caolie se lança le sort Bouclier de Mana à temps et la boule de feu l'atteignit. Par le choc elle tomba par terre. L'ombre commençait à prendre forme... Caolie se leva la tête et vit une énorme bête rouge droit devant elle avec son propre visage mais un corps malformé, énorme, couvert d'écaille ensanglanté et la peau repoussait une froideur inexpliquée. La bête avait le visage de Caolie tel qu'un miroir. Elle était son opposé mais en étant possédé et cruelle. Elle parlait d'une voix âcre que Caolie ne comprena pas.

La bête respirait très fort comme si elle préparait quelque chose d'énorme.... Caolie ne pouvait pas se lever, la force de la boule de feu l'avait épuisée... elle disa quelques prières à Brehan pour qu'il puisse l'aider...

Caolie : 14-12-2001

Elmar, après avoir traversé nombres de plans au formes imaginables et terrifiantes, arrive enfin à la fin du voyage magique et atterit lourdement sur un sol de pierres porreuses, de l'ébéne a n'en pas douter ...

Se relèvant, le jeune mage regarde tout autour de lui, essayant malgrè tout d'apercevoir l'un de ses compagnons mais nul traçe de l'un d'eux ...

Le samaritain des esprits de la nature ressent un aura malfaisant émanant de l'endroit maudit, brouillant les sens et les âmes. Mais tout à coup, un léger rire aux tons aigus se fait entendre et augmente peu à peu d'intensité ...

Elmar tremble alors de tous ces membres, reconnaissant sans peine la voix maléfique de sa némésis ...

Tiens tiens tiens.. Ne serait-ce pas ce naïf d'Elmar venut me rendre visite à son gêolier ? Mais oui ...

Un rire emplit de colère et de haine se fait entendre ... Le jeune mage sue à grosses gouttes et ne peut retenir les spasmes de son corps ... Malgrè sa terreur, il s'exprime alors ...

Glaberzu ...

Elmar Ezeil : 14-12-2001

Comme traverser un chute d'eau fraiche...c'est l'effet que j'ai ressenti en traversant un des miroirs.

Tout autour de moi, un paysage enchanteresque s'offre à ma vue, le sol est couvert d'un gazon parfait et les arbres sont porteurs de nombreux fruits.

La musique est envoutante et au centre de cette scène de paradis se trouve un petit lac aux abords très acceuillants.

C'est à ce moment que la fatigue et la soif eurent raison de moi, je me précipitais pour me désaltérer avec cette eau pure. Je bus à en perdre le souffle pour épancher cette soif qui ne semblait jamais s'atténuer.

C'est à ce moment que je ressentis une certaine ivresse, la tete me tournait...

Mon réveil, je ne saurais dire combien de temps après, fut des plus agréables. Deux charmantes paysannes était en train de me laver le front et les membres des blessures de la bataille. Peut-etre étais-je déja dans le monde des morts, peut etre qu'un de ces démons avait finit par me térasser ?

Je décidais presque à me rendormir sous les charmantes attentions des ces deux belles filles, quand un détail attira mon attention...

...j'aperçu au fond de l'eau du lac quelque chose bouger, me levant soudainement je me dirigea pour en apercevoir le contenu et c'est avec horreur que je me rendis compte que d'étranges créatures mi-poissons mi-femmes formaient de grands cercles autour d'amas de cadavres et d'os.

Un cris strident me fit me retourner soudainement, une des paysannes la bouche ouverte laissant apparaitre d'énormes crocs se précipitait vers moi avec des intentions on ne peut plus béliqueuses. D'un retournement suivi d'un coup de hanches, je réussis à la faire renverser dan le lac mais non sans y laisser une plaie sur mon coté. Sans attendre la deuxième créature je me mis à courir suivant un petit chemin qui s'enfonçait inexorablement dans une nuit profonde...

Le froid, le noir, la solitude, une épreuve pire que tout les combats s'offrait à moi, le combat contre moi-mème, une épreuve de volonté.

Depuis, je marche dans le noir, recherchant déséspérémment mes compagnons...

Koudcid-TMP : 14-12-2001

,leurs griffes immatérielles prêtes à lacérer l’esprit pour venger leur maître d’antan*

*murmure*
Noble Tanis pourquoi, pourquoi avez…

*sent une force amie vaciller*

*sert les Pierres*
*ancre son corps fermement au sol, puisant par ses pieds nus, l’énergie de Mère Terre*

*En appel aux Vents, se reconcentre, déterminée plus que jamais*

*lance son esprit à travers les limbes noires et glacées*
*fouille temps et espace*

*aperçoit le corps de la demoiselle, gisant, l’Ombre qui se penche sur elle*
*concentre son énergie et, comme par le passé pour un autre être aimé, forme un bouclier entre le corps et le Mal*

*lance ce qu’elle peut d’énergie vers les centres vitaux de Demoiselle Jezabel*

Follet : 14-12-2001

Les yeux de Cynthea mirent quelques instants à s'habituer à l'obscurité. Elle s'attendait à entendre les autres arriver tour à tour derrière elle, mais compris en se retournant et en voyant que le miroir avait disparu, qu'elle était seule...

Elle s'avança sur ses gardes, parmis les énormes colonnes de marbre, ornés de part et d'autres de braséros, dont les flammes ocres et rougeâtres donnaient à cet endroit un aspect des plus inquiètants...

C'est là qu'elle le vit, enchainé, les bras en croix, nu, le corps recouverts de plaies et de traces de fouet...il semblait inconscient...

Elle s'avança dans sa direction, ne pouvant retenir les larmes naissantes de le voir ainsi...

Lin, mais que vous ont ils fait?

Au son de sa voix, il semblait reprendre connaissance. il leva légèrement la tête et tenta de sourire en la voyant s'avancer vers lui.

Lin:Cynthea...vite détache moi! Ils vont bientôt revenir!
Cynthea, se reprenant: Je ne sais pas trop...je pourrais profiter de la situation.

Elle esquissa un sourire qui voulait masquer la tristesse de le voir ainsi, mais qui voulait aussi tenter de redonner courage en plaisantant à l'archer aux ailes noires...

Lin, répondant au sourire: Ce n'est pas tellement le moment, fière guérrière et personnellement, je vous préfère quand vous portez votre autre armure...Mais quoique vous portez, sachez que je vous aime...

En entendant ses mots, elle eut un instant de recul, puis, sans hésiter une seconde de plus, elle avança son visage près du sien comme pour lui donner un baiser, mais au moment où leurs lèvres allaient se toucher, elle plongea dans le coeur de l'archer, sa dague, un sang noir et visqueux se mit à se répandre...Elle lui sussura à l'oreille...

Tu y étais presque démon...mais jamais il ne m'aurait dit cela....

Elle retira sa dague et vit la transformation . A la place de l'endroit où se tenait l'archer, une créature immonde, à tête de pourceau avait pris place.

Cynthea : 14-12-2001

Son instinc l'avait guidé...pris parl a douleur qui lui tenaillait les cotes...il s'eloignait du groupe...refusant qu'ils voient cela...
Non, personne ne devait savoir ou voir...personne...
Il arpenta le chemin que son instinct lui indiquait...soulagé que personne ne l'ai vu...
Lentement, il apprenait à calmer la douleur...il survivait malgre elle et il posa son regard sur sa main droite...celle qui lui fut broyée...
Il la bougeait, regardait "ces" doigts...il esquissa un sourire chargé de lassitude...
Jusqu'à quand...Messager...jusqu'à quand.. murmura t'il...

Il reprit sa marche...il avançait, suivant les traces laissées au sol...
Il avançait, frolant de sa main la paroi obscure...son coeur cognait...l'atmosphere etait chargée et sourde...
L'eau saumatre suintait par quelques fissures dans les parois...les ossements, l'obscurite ...
Cela il connaissait...lui qui avait fouille les plans demoniaques d'uruku et d'arsherak...
lui qui fut...torturé et enchainé en Amynia...
non cela il connaissait mais quelque chose le troublait...l'angoissait...
Le sentiment qu'il ne s'etait pas trompé...qu'elle avait ete attirée ici...que l'appat marchait...
Le sentiment qu'il allait encore echouer..comme tant de fois...
La rage sourde grimpa en lui et un rictus sauvage se dessina sur ses levres...
Non...pas cette fois..
Il marchait et se trouva soudain devant une alcove, des miroirs s'y trouvaient...chacun luisants...des lumieres dansantes et envoutantes...des volutes qui parcouraient la surface lisse de ces objets...
Il avait deja traverse cela, pour rejoindre Arsherak et l'acculer chez lui...il savait que c'etait un piege mais il s'en moquait...
Seule la pensee de venir en aide à ceux qui etaient là l'occupait...l'obnubilait..
le reste..bah!
Il esquissa un sourire et franchit le portail...sans arme

Une douce sensation l'enveloppa et il se rendit compte malgre les tenebres autour de lui qu'il avait bien les yeux ouverts...
Il fronça les sourcils et se mis aux aguets...
La lueur emanant de sa poitrine lui permettait de voir tres faiblement autour de lui...à quelques centimetres...
Ho j'aime pas ça....
L'echo de sa voix se fit lointoin...il avançait depuis deja quelque temps mais rien n'avait changé...pas un bruit...pas un mouvement...il avait meme l'impression qu'il n'y avait pas de sol sous ses pieds...
C'etait etrange...
Les questions l'assaillaient...qu'advenaient-ils de ceux qui etaient venus...ayame, la ptite fleur sauvage...cynthea...le vieux juge au regard empli de sagesse, neo..son frere de foi...
tous...ils eprouvait du remords pour ne pas etre avec eux..les soutenir ...
Sa culpabilite grandissait et l'epuisement se faisait sentir...
des heures qu'il avançait sans sentir aucun changement, sans que sa main ne trouve de paroi, de fin où s'adosser...
Il s'affaiblissait...ses jambes lourdes d'epuisement ...
Peu à peu...il s'ecroula au sol, assoifé et pris par le desespoir de ne pouvoir rien faire...
la culpabilite le rongeait comme le pire des poisons et il s'y noyait...lentement...inexorablement depuis des heures pour lui...une eternite...

Septus : 14-12-2001

Tant de miroir et pourtant qu'un seul chemin, mes compagnons n'ont pas songer aux pieges qui pourraient les attendre...

*Prend encore qques secondes*
*Prend du recul*
Ceux ci dessinent un pantagramme.... Un miroir au centre, il devrait soit me mener tout droit en enfer, soit me conduire directement a Lin... Tiens bon l'ami j'arrive.

*Prend le portail*

Varghas : 14-12-2001

Muabdib Serra : 14-12-2001

Elmar toise l'immonde créature lui faisant façe, réprimant à grande peine le dégoût qui lui inspire l'ignoble fiélon que fut Glaberzu ...

La créature aux traits canins s'avance vers son ancien esclave, de la bave noire s'écoulant le long de la commissure de ses lèvres tallaidés ... Ses mains ,terminaient par de longues griffes, brassent l'air d'un air belliqueux alors que le jeune mage incante divers sortilèges de son répertoire, près a faire façe encore une fois au démon Ogrimarien ..

Un ignoble sourire ourlant sa bouche, Glaberzu se jette sur Elmar, ce dernier esquivant de justesse les terribles blessures que peut lui infliger les appendices malsains du démon ...

Concentrant sa puissance, l'élémentaliste invoque de puissants arcs électriques vers le fiélon, celui ci recevant de plein fouet le courroux même des vents mais malgrè toute la puissance accumulée, le démon ne ressent rien et s'avance toujours vers Elmar ...

Ce dernier, ne sachant que faire, tremble de tout son être alors que le démon d'Ogrimar se rapproche à grandes enjambées vers lui, Elmar fait alors le vide dans son esprit, canalisant les énergies positives de son être ...

Il reste ainsi, en méditation pendant un temps qui lui semble interminable et lorsqu'il ouvre de nouveau les yeux, il se rend contre que la créature qui lui fait façe est immatériel, éthéré ...

Ayant mis à jour l'illusion, un grand sourire sur les lèvres, le samaritain des enfants de la nature avance comme si de rien n'était vers Glaberzu, ce dernier étant littéralement "traversé" par Elmar, puis disparait dans un râle de douleur ...

Un sourire triste se dessinant sur ses lèvres, le mage avance vers la pénombre latente, ayant enfin vaincus ses plus profondes peurs ...

Adieu Glaberzu.. Adieu cauchemard ...

Elmar Ezeil : 14-12-2001

Amn apres avoir pris le portail le plus reculé s'était arreté pour observer la nouvelle caverne


Il avait apercu au loin d'étranges silouettes. Il y alla d'un pas ferme et rassuré. Arrivé a une dixaine de mètre des créatures, un grand silence se fit. Les monstres l'avait repéré.

Dans un élan de courage il brandit son fleau , serra le collier de sa mère contre son coeur , remit en place son armure antique et fonca tete baissée dans la bataille.

il s'écria : Artherk donne moi ta force !!!

Et il continuait a frapper sans regarder un instinct de Berseker s'éveilla en lui.

Il anéantit ainsi 5 démons cornus ... leur sang vert se répandait entre les cadavres d'humains qui jonchaient le sol de cette salle , visiblement de torture.

Il souffla 1 minute quand apparut un enorme démon avec 2 grandes tentacules. Il dit : "Soyez Maudit ! Moureeezz Mouahahahaa "

Amn commenca le combat et prit plusieurs coups. Il en donna aussi mais le démon était coriace et Amn eu du mal a lui faire rendre l'ame.
Le combat fut rude mais Amn sortit victorieux. Il serra le collier de sa mère , essuya le sang qui coulait le long de sa joue et tomba contre le sol, inconscient.

Amn : 14-12-2001

alors que je voyait uns à uns mes compagnons passer les miroirs, je pris la décision de passer à mon tour.

Je débouchais sur une pièce sombre et sans un bruit, un silence absolu.......j'incantais un sort de lumière qui ne fît pas plus de lumière.......

Mes oreilles bourdonnaient tellement le silence se faisait pesant.......

J'incantais une boule de feu qui ne fît pas plus d'effet lumineux.....

Mais que se passe-t-il? Quel est cet affreux silence? Pourquoi suis-je si aveugle?

à ce moment, je sentis les effluves d'une aura maléfique.....pour enfin se matérialiser devant moi dans une lueur verdâtre.......

Pale Hadain, regarde donc ce que tu déteste tant, regarde la solitude, regarde l'espace clos, regarde tes démons !

à cet instant précis, tout disparait, les murs , le plafond, le sol, plus rien de tangible, expepté cet étrange forme........je me sentais de plus en plus mal, de plus en plus claustrophobe......

....je regardais l'entité et me mis à la haranguer :

Montre toi, je méprise la peur, affronte moi, cesse d'essayer de me tourmenter et montre moi ton vrai visage !

la forme se précisa et...........une femme fît son apparition avec toutefois quelques particularités.......son visage était blême , ses yeux révulsés, des blessures apparaissaient sur son visage qui se creusaient jusqu'a l'os.......elle avait l'apparence d'un noyé qui aurait croupis dans l'eau depuis un temps indescritpible

Ne comprends tu pas , jeune sôt de pale hadain, ne comprends tu pas ce que je suis tout ce que tu crains, parceque contrairement à ce que tu affirmes, tu connais la peur !

La créature morbide se jetta sur moi et bizarrement, alors que je m'appretais à faire appel aux vents pour contrer son attaque, ma bouche resta close et ma volonté en chute libre.....

Je n'eu d'autre protections que mes bras dressés devant mon visage puis sentis mes jambes ceder comme du coton.....

je me retrouvais agenouillé, ramassé sur moi même lorsque je m'attendais à l'attaque finale de la créature..........

...elle se jeta sur moi et dès qu'elle arriva si proche que je pouvais sentir son haleine putride , odeur de bois moisi mêlé à une odeur poissonneuse, elle disparut et un miroir terne se dressa là ou elle aurait dû être.......

J'y vis mon reflet, ma déchéance, ma petitesse, ma faiblesse........

J'avais en peu de temps appris l'humilité, je savais que je venais de passer une première épreuve.....

PaleHadin Ezeil : 14-12-2001

Une fois franchit le miroir, l’entrée resté encore ouverte,
Neptune se retrouva dans une espèce de caverne.. ressemblant étrangement à un sanctuaire.. comme dans sa vision, plusieurs couloirs se donnant à l’endroit où il se trouvait...

Des énorme portes taillée dans du marbre sombre.. barrée chaque arrivé. Dans cette place assez immense.. un peu plus profondément dans la paroir , une autre porte encore plus imposante surplombé le lieu, quatre statuettes en pierres gardaient devant cette entrée…

Au pieds de celles-ci, des crane et ossements

Neptune se dirigeait prudemment vers celles-ci… Un sifflement se fit entendre, il tourna ses regardes en arrières, une créature ailés fonçait droit sur lui.

Par réflexe, Neptune Esquiva de justesse le passage des ailes qui frôlèrent de près sa personne ! la créature immonde s’est posé sur la tête de l’une des statuette puis se métamorphosa en un être semblable.. à un être humain mais avec un regarde plein de haine et de rancœur… les brases croisé il s’adressa à Neptune… avec des rires moqueurs.

Créature :Hahahaha… Je suppose que vous etes là pour délivrer les prisonniers… Quoiqu’il en soit vous ne partirez pas d’ici comme vous etes venu…Et d’ailleurs personne ne reparte d’ici !

Neptune : On verra bien Créature ! On est ici pour une cause et nous mènerons jusqu’au bout quoi qu’il en coûte !

Créature : Mouahahaha !! , Regardez vous un peu, vous n’avez aucune chance de franchir cette escalier qui est devant vous… Je vous enverrais rejoindre vos amis avant que vous n’ayez eu le temps ! !


Neptune : Mes amis ? ! * Inquiet, sent un malaise brusquement *

Neptune, presser par le temps, activa ses meilleurs protections et ses meilleurs sorts de combat discrètement.

Voyant Neptune silencieux, la créature commençait à se doute de quelques choses puis elle passa à l’attaque..

Il lança sa première vague de sorts en les fusionnant projeta la créature contre le plafond… mais elle réplique de plus belle !

ce fut un combat difficile mais Neptune sorti avec quelque blessures dans gravités qui ont était guérir par ses propre soins .


Mais cette porte principal est resté clos, Le silence s’installa… de temps en temps des hurlements de douleur, des cris raisonnaient derrière cette portique…

Il décida d’attendre ses compagnons avant d’entreprendre des initiatives, s’il voit juste tous les autres miroirs vont mener les autres à cet endroit s’ils ont survécu…

Neptune-Gx : 14-12-2001

tâtonne espace et temps à la recherche de demoiselle Cynthéa*

*En un éclair, voit un homme enchaîné, au moment où la demoiselle approche son visage comme pour l'embrasser*

*Une vague de tristesse douloureuse la submergeant, se lance à la recherche des autres membres de l'équipée*

*voit Neohken gisant dans la posture de l’agonisant, la demoiselle Ayame arc tendu vers le vide, le Templier Koudcid fendre l’air de son arme, Septus déambuler comme portant le malheur du monde sur ses épaules, le Juge s’effondrait au sol, Elmar une sourire incongru aux lèvres, Sire Amn moulinait le néant de son arme comme un forcené, Sire Pale-Hadin lancer des sorts dans le vide*

Sont-ils fous, est-ce moi ? Ne me suis-je pas assez préparée ?
*regagne un instant l’éther pour reconcentrer les flux*

Follet : 14-12-2001

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